Le séparatiste Radhi Al-Layali fait face à l'expulsion de la France et frappe à la porte de l'Algérie
Le séparatiste Radhi Al-Layli risque d'être expulsé de France, pour avoir violé la loi sur les demandeurs d'asile dans ce pays après son implication dans l'incitation à la violence et les insultes contre les institutions d'autres pays.
Selon les personnes concernées par la question du Sahara marocain, le séparatiste, dans une position peu enviable, après que la France s'est approchée empêchant la demande d'asile de l'intéressé, et les avertissements successifs qu'il a reçus des autorités et de la justice française en raison de sa violation du droit des demandeurs d'asile dans ce pays en incitant à la violence, aux insultes et à la calomnie contre le droit. Les institutions d'autres pays et la formation d'une organisation séparatiste dans le but de nuire aux autres.
Les personnes concernées ont ajouté que cette situation a poussé le séparatiste résidant sur le sol français, ce qui l'a poussé à frapper à la porte des autorités algériennes, où il s'est entretenu personnellement avec le commandant de l'armée algérienne pour lui permettre de résider en Algérie et lui accorder l'asile politique en cas d'expulsion du territoire français
La police française a arrêté l'intéressé, ainsi que des membres de l'organisation séparatiste Polisario à Paris, à la suite de plaintes contre eux après leur brutale agression et menaces d'armes blanches et de bâtons dans la capitale d'Al-Anwar face à une femme marocaine, avant d'être libérés sous caution, après de nombreuses heures d'enquête, en En attendant un approfondissement de l'enquête avec eux après l'afflux des plaintes, usant de violence devant les caméras
Le mercenaire "Radi Al-Layali" était apparu dans une cassette vidéo chargeant et menant l'attaque brutale à la matraque contre une Marocaine portant le drapeau national, lors d'un stand pacifique en France
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